Venez vivre une expérience hors du temps :
Dérouler les années, au fil des saisons,
passant d’un instant à l’autre,
comme autant de moments uniques
qui célèbrent le charivari du vivant.
Une immersion poétique et ludique
qui révèle l’art du haïku japonais,
au son des flûtes et de l’accordéon.
Respiration, évocation, sensation...
Dans un décor épuré, une Geisha et deux musiciennes arrivent à petits pas et commencent le rituel des salutations. Une invitation à ralentir le temps et lâcher prise pour pouvoir ressentir la force évocatrice d’un haïku. Après avoir été énoncé par la Geisha, chaque poème est suivi d’un haïku musical qui prolonge et accompagne la sensation de chacun.
Haïkus de printemps, d’été, d’automne et d’hiver se succèdent alors avec espièglerie abordant les émotions reliées à la vie : la joie, la légèreté, la souffrance, la beauté, la mort, la rêverie, la solitude, la vieillesse...
Peu à peu, la complicité entre la geisha et le public se tisse, la musique se saisit de chaque émotion, de chaque imprévu, la sensation de faire parti d’un tout s’empare de chacun : Instant après instant, notre perception du monde s’ouvre à un univers qui nous dépasse... et nous remplit de plénitude.
Volontairement détachée d’une musique traditionnelle japonaise, Elsa Demombynes aux flûtes et Laure Chailloux à l’accordéon explorent des univers sonores très variés, grâce à l’alternance de jeu mélodique et/ou bruitiste mais aussi par la diversité des flûtes jouées (flûtes ney, népalaise, harmonique, traversière, chinoise, irlandaise…)
Le haïku
Le haïku cherche à transcrire une expression non verbale du monde en un seul souffle. Habité par une exigence d’expression absolue, il dénude la langue jusqu’à sa moelle pour révéler sans discourir le charivari du vivant. Chacun est convoqué au plus vif, au plus vrai de sa palette sensible pour « compléter » le poème, le faire résonner. Car les Haïkus ne comblent ou ne figent rien, ils ouvrent continûment.
Anthologie du poème court japonais, Gallimard
Dans un décor épuré, une Geisha et deux musiciennes arrivent à petits pas et commencent le rituel des salutations. Une invitation à ralentir le temps et lâcher prise pour pouvoir ressentir la force évocatrice d’un haïku. Après avoir été énoncé par la Geisha, chaque poème est suivi d’un haïku musical qui prolonge et accompagne la sensation de chacun.
Haïkus de printemps, d’été, d’automne et d’hiver se succèdent alors avec espièglerie abordant les émotions reliées à la vie : la joie, la légèreté, la souffrance, la beauté, la mort, la rêverie, la solitude, la vieillesse...
Peu à peu, la complicité entre la geisha et le public se tisse, la musique se saisit de chaque émotion, de chaque imprévu, la sensation de faire parti d’un tout s’empare de chacun : Instant après instant, notre perception du monde s’ouvre à un univers qui nous dépasse... et nous remplit de plénitude.
A L’Orée du Temps s’inspire de haïkus écrits par des poètes du XVIIe et XVIIIe siècle dont Kobayashi Issa, Yosa Buson, Ozaki Hôsai, Natsume Sôseki, Ryôkan...
Leurs poèmes ont une incroyable résonance avec les questionnements environnementaux et sociétaux actuels. Ils nous invitent à regarder le monde différemment en reliant les êtres et les choses en harmonie avec la nature.
La musique de ce spectacle à été enregistrée sous le titre A l’Orée du Temps. Le CD est disponible sur demande.
Crédit photos : GuYom Scènes du Nord ; Jean-Pierre Rigaut ; Laure Chailloux